Cuisine d'autrefois

Zengaara a écrit:

Même les galettes de blé noir n'étaient plus les mêmes depuis que Mathilde Le Couet avait commis un crime de lèse majesté en adaptant la recette ancestrale et sacrée aux goûts inusités de ses adorables bambins. Ainsi, elle avait remplacé le beurre par de la graisse de baleine, et la garniture d'oeufs et de lard, par des vessies de chacal et des yeux de morues frites.

z'ont des drôles de goûts, outre-atlantique????

t'es sérieuse quand tu racontes l'histoire? je décides (je pries) de faire appel à ton mari pour qu'il rétablisse la vérité! OH mari de zengaraa!!!! J'invoque ton esprit également.

Trêve de plaisanterie: l'ancetre s'appellait le couet et ces galettes préparées pouah!!!

attends j'ai mal formulé ma dernière phrase, je rectifies: l'ancêtre le couet(un nom qui me dit quelque chose) faisait t-elle ces galettes? si c'est vrai cela m'a l'air dégoutant, pouah.

vla ce que je voulais dire!!!

Bon, je me suis laissée emportée par l'amusement pour inventer une parodie et vous taquiner
Je pensais que c'était évident :bzh1: :bzh1:

En fait, mon mari sait peu de chose sur son ancêtre. Ça remonte à tellement loin... Bien sûr, cette jeune femme agressée est une légende dans la famille car ce qui lui est arrivé à marqué la mémoire familiale.

Dans le lien sur les Amérindiens, il y a une page sur les supplices. Les Iroquois étaient vraiment cruels par rapport aux Hurons, c'est une vérité historique.

Le Couet est un nom fictif. La vraie lignée est celle des Martel, descendants de Charles Martel (authentique).

Me doutait bien que tu plaisantais un peu sur les fameuses galettes.
Charles MARTEL? La famille de ton époux ont fait des recherches généalogiques?

Oui, et c'est fascinant de remonter le temps pour rechercher nos origines familiales. Internet est d'ailleurs un fabuleux outil pour cette quête.

Ce qui est problématique, c'est qu'avec les guerres, beaucoup de registres et d'archives ont flambé, en France et ici. C'est pour ça que :

* Ainsi tout change, ainsi tout passe;
Ainsi nous mêmes nous passons,
Hélas ! Sans laisser plus de traces
Que cette cette barque où nous glissons,
Sur cette mer où tout s'efface... *

Extrait du Golf de Baya
Alphonse de Lamartine
(1790-1869)

Nono, je te félicite d'être curieuse de tout, de t'intéresser à tout, c'est une preuve d'intelligence chez une jeune fille !

Je fais des recherches généalogiques donc... Ca va, mon cerveau n'est pas trop ramollie(je rigoles bien sur).

Pour les registres, tout n'a pas disparu et même très conservé (des fois très vieillots et alors l'écriture,ou là!!!).Parfois, registres disparues dans certaines communes frontalières (genre ardennes,ect...)