Découvrez l'Ile d'Houat à 360° ( plusieurs vues )
http://www.azureva.com/bretagne/magazine/ile/bzh_mag_iledehouat.php3Île de Houat, qui veut dire canard en Breton, fait 5 km de long sur 1.3 km de large, elle possède un magnifique port avec 40 bateaux de pêches multicolores.
Houat, la grande sœur, est par deux fois envahie par les Britanniques (XVIIème et XVIIIème siècles) après les avoir déjà refoulés en 1496.
Elle fut le refuge des soldats royalistes, puis du chef des chouans, la contrebande était courante entre les îles et la presqu'île de Rhuys. Tout comme Hoëdic, c'est deux île sont restées plus sauvage et pittoresque du fait de leurs petites surface, ce qui leurs obligea une grande autarcie
Après 30 minutes de bateau au départ de Quiberon, vous aurez tout de suite l'impression d'être vraiment ailleurs.
Le point de départ de votre exploration se nomme Port-Saint-Gildas, un village de pêcheurs. L'île n'est pas très grande, on peut en faire le tour à pied en trois ou quatre heures en suivant le chemin côtier. Les paysages sont extrêmement variés : des criques, des falaises et des plages magnifiques... A "faire" absolument : la très belle plage de Treach-er-Goured (dunes) la promenade à la pointe Beg-er-Vachif (Ouest) et la visite de l'île voisine d'Hoedic.
Peu de touristes passent la nuit sur ce petit morceau de terre qui ne compte que de 390 habitants en hiver. En général les estivants visitent l'ïle depuis Quiberon et repartent. Pour notre part, nous vous recommandons de séjourner sur place afin de profiter pleinement de cette destination privilégiée.(voir rubrique "Hôtels" sur le site)
Pour réserver le trajet par bateau à l'avance, vous pouvez consulter le site de la SMN (Société Morbihannaise de Navigation). Il y a en général un bateau le matin et un le soir, mais mieux vaut vérifier les horaires. Les vrais amateurs de nature pourront opter pour le camping semi-sauvage (payant), autorisé sur les pointes d'Eun Tal et du vieux port.
_________________
- Jean-Pierre -
"Bénodet fait penser à la Côte d'Azur car voici son climat, ses figuiers, son ciel pur."
Apollinaire 1917